Jérôme Arnould, de Guingamp (Côtes-d’Armor), a écrit une thèse sur les manuscrits de Georges Brassens, en 2004. Sa passion pour le chanteur n’est jamais retombée. Au contraire. Le musicien la partage même sur scène.
Le quadragénaire, qui vit à Guingamp, ne l’a jamais rencontré physiquement, mais il le connaît depuis l’enfance, grâce à ses parents, amateurs de chansons françaises.
Et c’est à l’adolescence que la révélation se produit. Jérôme Arnould écoute alors beaucoup de chansons à texte et redécouvre Brassens.
« Tout ce que j’ai reçu m’a plu : son écriture évidemment, sa poésie, ses textes. » Le personnage, aussi, beaucoup. « Derrière ses chansons les plus connues, Les Copains d’abord et Chanson pour l’Auvergnat, il y a beaucoup de générosité. »